
... Et si le ciel était vide !

Un ange passe. La mouette se tait. Feu orange

Photo de famille devant sa ligne d'horizon

Par-dessus l'horizon

LA PENSEE

Le bain de mer en famille

Danse sur la voie lactée

La petite Cerisaie, états d'âme à chaque étage. Autres épilogues

LE SENS DE LA VIE

La saison douce

Jeune femme devant l'éventuelle plage

Un été en demie-teinte, mais pas tout à fait

Et si rien n'était sûr ?

Le navire enchanté

UN SILENCE SUR LA PLAGE

Moment de grâce

LE MOULIN A VOIE LACTEE

CODE-BARRE DE MAREE

LA JEUNESSE

Les dames de compagnie

La confluence des trois matières

Petite variation maritime

Au confin du banc

L'exact centre d'un monde

RESISTANCE

Apparition des prés

LA PAUSE

Canicule. A quoi penser ?

Contemplation et lévitation

la baignade innocente

Mots et phrases à travers champs

La maison qui crie le soir

FIN DE TUNNEL

La clarté de l'été

Le chien

L'hipposcargot s'ennuie

Heureux et cachés

Il reste l'optimisme

Caresse de soir d'été

Dans la salle d'attente

Le possible d'un champ

Un ange passe, vite un autoportrait

Premier spectacle d'été du quartier

congés payés, entre l'usine et la campagne

L'infinitude

Se tourner vers quels cieux ?

les passantes du mois d'aout aux Tuileries

Un été fattigant

SORTIE DE MANEGE ... UN DOUTE PEUT-ETRE
Ce deuxième été n'a rien à voir avec celui de 2020. Il n'a pas été ce "défoulement" du sortir du confinement strict. Il s'allongea plutôt sous un signe d'introspection ... Sur l'ensemble de la France la météo fut aussi mitigée et participa à cette atmosphère d'alanguissement quelque peu jouissif.
On cherchait des zones géographiques plus douces, plus "monochromes", on cherchait à découvrir en marchant à petits pas, on cherchait à s'arrêter, à s'assoir un moment.
Il semble que ce fut un été "temps de pose" : prendre le temps de considérer les détails, de découvrir les "basses lumières", de savourer quelque peu l'invisible.
voir sur : https://www.artquid.com/g.petitgats